Nous serions 22% à trouver « impossible » de passer plus d’une journée sans notre téléphone portable, indique un récent sondage en ligne, réalisé en mars par la société Mingle auprès de 1 500 utilisateurs. Ce pourcentage grimperait à 34% pour les 15-19 ans. Autant de nomophobes* en puissance !
Le phénomène prend de l’ampleur, notamment avec les smartphones. Devenu un véritable kit de survie, doublé d’un journal intime, ces appareils contiennent souvent toute la vie de leurs utilisateurs et leur permettent de rester connectés H24 sur la toile… La perte de ce précieux joujou peut devenir source d’angoisse pour les plus accros…
Si les symptômes de la nomophobie vous gagnent, une petite cure de désintoxication annuelle est vivement recommandée. Tous les ans, du 6 au 8 févier, l’écrivain Phil Marso organise les journées mondiales sans téléphone mobile. Une date à noter dans l’agenda… de votre smartphone !
* Nomophobe : contraction de « no mobile phobia »